Marco Pais Pereira, une expérience personnelle et professionnelle de haut vol à disposition de toutes et de tous

La fonction de maire est exigeante. Il n’est qu’un des sept membres de l’exécutif, mais il en est le président. Si elle n’est pas prédominante, sa voix fixe le calendrier et détermine la stratégie d’une commune de 5100 habitants aux riches infrastructures et multiples sociétés. Par les décisions qu’il doit être capable de prendre, le maire donne – ou non – l’impulsion nécessaire. La fonction de maire n’est ni une récompense, ni un accessoire, elle est une responsabilité prise envers toute la population.

ARC souhaite, dans ce communiqué, laisser à Marco Pais Pereira le soin d’exposer aux citoyennes et citoyens de Saint-Imier comment il entend répondre à ces hautes exigences.

Marco Pais Pereira: «Mon parcours personnel m’a appris à compter sur mes ressources propres. Grâce aux formations suivies en cours d’emploi, j’ai pu accéder à la direction de l’une des plus importantes institutions du canton de Neuchâtel: la Fondation «L’enfant c’est la vie». J’y pratique la gestion du personnel (130 collaboratrices et collaborateurs), en assumant la planification et des budgets conséquents. J’ai développé des relations étroites avec les plus hautes autorités politiques neuchâteloises, en charge de la gouvernance de cette institution, ainsi qu’avec de nombreux secteurs de l’administration publique. Ce qui m’a motivé dans ce travail complexe et exigeant, c’est qu’il est au service des autres, de celles et ceux qui ont le moins de moyens d’être entendus.

J’aime le collectif, et j’aimerais redonner à la collectivité ce que j’ai pu recevoir. Je souhaite que mon expérience personnelle et professionnelle puisse servir au mieux une vision dynamique et solidaire pour Saint-Imier, en assurant le maintien et le développement d’infrastructures extraordinaires. Je voudrais que cette qualité de vie, sportive et culturelle, qui a séduit mon épouse imérienne et qui m’a convaincu lorsque je me suis établi avec elle à Saint-Imier, bénéficie pleinement à nos enfants, pour tout leur parcours de formation, jusqu’au ceff qui doit rester pleinement à Saint-Imier.

Je ne manquerai pas d’affirmer haut et fort, en toute indépendance, la place et le rôle de Saint-Imier au sein de l’Arc jurassien, sans la laisser démanteler.

Je tiens à vous informer qu’afin de garantir un engagement sans faille, j’ai négocié avec mon employeur actuel un réaménagement de ma fonction de directeur. En cas d’élection à la mairie, je pourrai continuer à l’assumer, conformément au vœu de mon employeur, mais de manière à être en mesure de consacrer au poste de maire toutes les disponibilités requises et de garantir une indépendance complète.

Fort du soutien de mon employeur et de ma famille, c’est avec confiance, mais non sans humilité, que je soumets ma candidature à la mairie. Je le fais avec d’autant plus de conviction que je sais pouvoir compter sur l’appui solide de colistières expérimentées au Conseil municipal – Josika Iles, vice-maire, et Jessica Froidevaux, deux conseillères municipales aguerries et bien dans leur département – et que Paula Tanner, actuellement en charge de l’Action sociale, apportera sa vision et sa grande expérience au Conseil de Ville, emmenant une liste paritaire, de tous âges et milieux, comme Saint-Imier.»

ARC ( Saint-Imier