Nouvelle commune : un cadre d’action adapté aux réalités offert aux citoyennes et citoyens. Un OUI positif, dynamique et ambitieux. Quatre visages citoyens s’expriment à ce sujet.

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Jean Luc Berberat, né en 1966, enseigne le français et l'histoire au ceff COMMERCE à Tramelan. Conseiller municipal depuis 6 ans, il est responsable de l’éducation et de la culture à Saint-Imier.

Florine Pessotto-Bueche, née en 1980, est travailleuse sociale en milieu scolaire à Saint-Imier. Conseillère de Ville depuis plusieurs années, elle a également siégé à l'exécutif local à la tête du dicastère de l'action sociale.

« Elle, c’est une Imérienne pure souche ; lui, c’est un exilé biennois qui a remonté la Suze il y a près de 30 ans ; mais aujourd’hui, la Suze, il préfère la descendre, pure, sans glaçon. À eux deux, ils sont presque centenaires. Elle nage, il court. Elle a beaucoup de cheveux, lui moins. Il est enseignant, elle a été son élève et est devenue psychologue. Elle adore la décoration, lui préfère les choses utiles. Elle a deux enfants, lui trois. Il roule en Audi, elle a un gros bus. Il aime les oiseaux, les arbres et le sport ; elle préfère les virées shopping, le bricolage et le jardinage. Elle adore cuisiner, lui préfère un bon bistrot. Ils sont Sagittaire. Ils apprécient la lecture, le théâtre, le cinéma. Ils aiment la culture sous toutes ses formes. Ils adorent débattre, argumenter, confronter leurs idées. Elle chante, il se contente de parler. Ils adorent jouer. Et rire de tout. Ils aiment leur Jura, leur vallon, leurs montagnes, leur cité et surtout : ils adorent les gens.
Animés par des valeurs et un idéal communs, ils se sont engagés à fond pour leur commune. Séparément, puis ensemble. Soucieux de son essor, de sa population et de son avenir, ils ont fait de la politique, d’abord au sein d’Alliance jurassienne, puis d’ARC. Ensemble, ils cumulent plus de 30 années d’engagement politique et de mandats divers. À eux deux, ils comptent près de 200 séances au législatif imérien, et autant à l’exécutif, sans compter les commissions dans lesquelles ils ont été actifs. Autant dire qu’ils connaissent les rouages de la politique imérienne, et qu'ils s'y engagent avec détermination. Ils y ont connu des succès retentissants, mais aussi subi des défaites conséquentes. Aux joies et au bonheur ont parfois succédé la tristesse et l’abattement. Puis la résilience et l’enthousiasme retrouvé, ce besoin et cette envie intacts de faire avancer les choses. Profondément convaincus par les causes qu’ils défendent, les valeurs qu’ils représentent et les choix qu’ils préconisent, c’est avec leurs tripes qu’ils se sont engagés pour ce coin de pays qui leur est cher et pour le bien des gens qui y vivent ou qui y travaillent, en vibrant émotionnellement et intellectuellement avec les sujets portés sur le devant de la scène politique, sans mot d'ordre mais avec une conscience assumée des enjeux.
Tant de choses qui lient... et autant de spécificités propres à chacun. Au centre de l’équation, toujours, le sentiment commun que leurs partages créent de nouvelles images, dynamisent leurs idées, renforcent leur amitié, et permettent à chacun de rester réactif. La mise en commun de leurs perspectives, loin de les effacer individuellement, permet au contraire de révéler chacun pour ce qu'il est, de créer une synergie positive. Et même s’ils ne sont pas toujours d’accord sur tout, l’enjeu du maintien de leur lien les rend plus diplomates et leur permet d’envisager certaines concessions dans une attitude constructive.
Elle s’appelle Florine, il se prénomme Jean Luc, mais ils auraient pu s’appeler Renan, Sonvilier, Saint-Imier, Cormoret ou Courtelary, avec leurs différences, leurs spécificités, leurs histoires, et leur Histoire, mais aussi leurs points communs, leurs ressemblances, le même souci d’œuvrer pour le bien de leurs concitoyens.
Dimanche 29 novembre, ces cinq-là ont rendez-vous avec leur avenir et l’opportunité de sceller une alliance solide pour être plus forts, plus grands, plus réactifs, plus dynamiques, plus riches, plus réalistes, plus solidaires et plus visibles ensemble. Cette occasion ne se représentera pas de sitôt et il serait vraiment dommage de la manquer. Florine, Jean Luc, mais aussi Estelle, Mathieu, Isabelle, Yann, Christophe, Jean-Pierre, Mylène, David, Renzo, Marjorie, Liliane, Audrey, Lucienne, Stéphane, René, Francis, Béatrice, Laura et tant d’autres répondront présents ce jour-là, conscients que nous avons toutes et tous besoin les uns des autres, aujourd’hui plus encore que jamais.
Dès lors, nous vous encourageons à être confiants et à faire preuve de solidarité, de courage et d’esprit d’ouverture en plébiscitant ce magnifique projet de fusion porteur d’espoir et de progrès. Glissez non pas un, mais quatre grands OUI le 29 novembre, car notre avenir, c’est maintenant qu’il se joue, bien au-delà des luttes partisanes et des défis politisés. Cette fusion, c'est nous. C'est VOUS. »

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 Il y a plus de douze ans, Paula Tanner est arrivée à Saint-Imier pour travailler comme physiothérapeute à l’HJB. Originaire du Portugal, elle a très vite été séduite par les montagnes imériennes et c’est en épousant un Imérien de souche que ses racines ont commencé à s’ancrer dans notre ville.
Maman de trois enfants en bas âge, physiothérapeute à 60%, Paula Tanner a été élue au Conseil municipal en 2018. Vice-mairesse en 2020, elle est responsable du dicastère de l’action sociale. Elle montre qu’à Saint-Imier aussi, avec de la volonté et de l’engagement, tout est possible
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« Je ne suis pas une personne solitaire. Soit dans ma vie professionnelle, soit dans ma vie privée, j’essaie de démontrer que nous avons toujours besoin les uns des autres pour y arriver, avancer et être heureux.
Actuellement, vu la situation sanitaire, nous entendons à plusieurs reprises nos médecins, nos politiciens, nos chefs d’entreprise nous dire : “Restons unis, car c’est ensemble que nous pouvons nous en sortir !” Je reprends exactement ces paroles pour dire
un grand OUI à la fusion de nos communes.
Il est temps d’aller de l’avant, de penser à l’avenir. La fusion de nos communes va non seulement permettre la consolidation des liens déjà existants, mais elle va surtout permettre de dynamiser notre région.
Je trouve que c’est le moment idéal pour faire un pas vers le progrès, de penser à nos jeunes, à l’éducation, au sport à la culture.
Une commune de plus de 9000 habitants sera une commune plus attrayante. Cette attractivité pourra ouvrir des portes aux entreprises, aux commerçants, aux restaurateurs et ainsi créer davantage de postes de travail. C’est la possibilité que nous donnons aujourd’hui à nos jeunes de projeter leur futur dans la région qui les a vus grandir.
Ce projet de fusion est, pour moi, l’aboutissement d’un travail réfléchi, intelligent et surtout global pour l’avenir de la population de nos communes.
C’est maintenant qu’il faut s’engager, voter ce 29 novembre 2020 pour un avenir ensemble. Votez 4 x oui à Erguël ! »

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Né en 1957, Philippe Garraux est membre du Conseil de Ville depuis 2019. Défenseur de la cause féminine, il a également siégé au Conseil de Ville de Moutier puis au Conseil général de La Neuveville. Domicilié à Saint-Imier depuis dix ans, il est très attaché à sa région et souhaite que nos cinq territoires s’unissent pour former un front commun et défendre une identité régionale au sein de l’Arc jurassien.

« Les opposants à la fusion voient tout en noir. Ils perçoivent un problème à chaque solution. Ils réagissent au lieu d’agir. “La fusion ? Non, pas comme ça ! La crise du Covid ? Non, il faut différer ! La RFFA et les pertes d’impôts ? Non, il faut attendre ! Et les millions de francs garantis par le Canton pour les communes fusionnées ? Non, il ne faut pas en parler.” Il faut faire peur avec des hausses d’impôts ! Bref, la mentalité de perdant domine.
Les partisans de la fusion, dont ARC est résolument, comprennent et entendent les arguments positifs : ils voient une solution à chaque problème. Ils décident de s’entraider. Tout n’est pas facile mais, c’est possible ! Ils ébauchent des idées. Ils sont disponibles et enthousiastes. Ils proposent des plans, dessinent l’avenir, donnent confiance et solutionnent. Ils avancent avec assurance, conviction et fierté.
Avoir une mentalité de perdant ou de GAGNANT ? Telle est la question.
Votons 4 x oui et osons vivre un avenir commun et prometteur ! »